Bonsoir à tous,

Voilà aujourd'hui, je fais appel à vous en tant que lecteur. Je dois rédiger un article pour le journal de ma région et j'ai choisis de parler du réchauffement climatique. Maintenant qu'il est fini, j'aimerais que vous le lisiez et que vous me dites ce que vous en pensez en tant que lecteur mais aussi en tant qu'être humain car c'est un sujet qui nous touche tous...

Merci de votre attention et de votre temps.

Citation :

Un avenir incertain...
A l'échelle planétaire.

Depuis quelques années, nous entendons tous parler d'un phénomène qui touche notre belle planète bleue. A chaque congrès de l'environnement, il est remis sur le tapis par les dirigeants du monde entier. Pourquoi ? Parce que notre planète étouffe et un phénomène cause des dommages irréparables sur le lieu où nous vivons depuis des décennies. Et encore, ce mot est encore bien légers. Aux yeux es experts, nous sommes responsables de tout ce qui se passe : fontes des glaces au pôle, montée du niveau de l'eau et cetera... Mais face à ça personne ne semble être en mesure d'apporter des solutions viables dans le temps dans la survie de notre planète. Mais penchons-nous un peu sur ce phénomène qui fait aujourd'hui peur à nos grands spécialistes : le réchauffement climatique.

Avant toute chose, le réchauffement climatique est une montée de température moyenne des océans et de l'atmosphère à l'échelle mondiale dans le temps, c'est à dire sur plusieurs années. En effet, depuis des années, la température moyenne augmente entre 1 à 3 degrés par an. Mais selon les rapports, il semblerait que la température de la surface du globe augmente de 1,1 à 6,4 degrés supplémentaires. Seulement, ce phénomène attire beaucoup de conséquences que nous ne sommes pas en mesure de contrecarrer. On peut citer notamment la délocalisation de la faune et de la flore dans certaines régions du globe, la perte d'espèces rares tels que les coraux qui sont protèges par une loi internationale. Beaucoup se demandent ce qu'il faudrait faire pour éviter tout ça ? Et bien, personne n'a de réponse à cette question qui revient sans cesse sur le tapi rouge du G 20 par exemple...

Le climat global de la Terre connaît des modifications plus ou moins cycliques de réchauffements alternant avec des refroidissements qui diffèrent par leur durée (de quelques milliers à plusieurs millions d'années) et par leur amplitude. Depuis 800 000 ans, le climat terrestre a connu plusieurs de ces cycles. Plusieurs cycles de 100 000 ans environ se sont répétés au cours de cette période. Chaque cycle commence par un réchauffement brutal suivi d’une période chaude de 10 000 à 20 000 ans environ, appelée période interglaciaire. Cette période est suivie par un refroidissement progressif et l'installation d’une ère glaciaire. À la fin de la glaciation, un réchauffement brutal amorce un nouveau cycle. Nous vivons actuellement depuis plus de 10 000 ans dans une période interglaciaire. Grâce à l'analyse de la composition de l'oxygène piégé dans la glace, les températures atmosphériques des cycles glaciaires précédentes ont pu être reconstituées. La carotte glaciaire la plus profonde a été forée dans le cadre du projet Épica, en Antarctique, à plus de 3 500 mètres de profondeur et permettant de remonter l'histoire du climat en Antarctique jusqu'à 800 000 ans. Les carottes de glace contiennent des bulles d'air et des indications sur la teneur en gaz de l'atmosphère d'autrefois, ce qui montre que les températures globales sont liées à la quantité de gaz à effet de serre dans l'atmosphère.

Au jour d'aujourd'hui, notre atmosphère contient beaucoup de gaz à effet de serre et c'est bien là tout l'étendu du problème. En effet, notre atmosphère la libère en direction du sol, ce qui a pour conséquence de réchauffer la terre et les océans de quelques degrés. Et au jour d'aujourd'hui, si on fait une comparaison de la température, nous avons atteint un record de 0,52 degrés moyen d'écart entre 1961 et 1998. Ce chiffre n'est pas négligeable et ce n'est pas la seule conséquence visible, malheureusement. La fonte de la banquise est et restera la conséquence la plus visible. En 2005 et 2007, nous avons atteint un record de la fonte qui n'avait jamais été atteint jusqu'à maintenant. Et le phénomène n'a pas finit de se propager. La réduction de l'étendue moyenne de la banquise arctique depuis 1978 est de l'ordre de 2,7 % par décennie et son étendue minimale en fin d'été diminuant de 7,4 % par décennie. Le réchauffement dans cette région est de l'ordre de 2,5° C et l'épaisseur moyenne des glaces a perdu 40 % de sa valeur entre les périodes 1958-1976 et 1993-1997. En 2007, les observations satellites constatent une accélération de la fonte de la banquise arctique, avec une perte de 20 % de la surface de la banquise d'été en un an. Par ailleurs, le Groenland a vu ses glaciers se réduire de 230 à 80 milliards de tonnes par an de 2003 à 2005, ce qui contribuerait à 10 % des 3 mm actuels d'élévation annuelle du niveau des mers. Ce n'est pas au seul endroit où on peut remarquer les dégâts causés par le réchauffement climatique. On pourrait parler des montagnes enneigés. Avant, le célèbre Kilimandjaro était enneigé maintenant, ce n'est plus le cas. La neige est quasi-inexistante... Il a perdu 82 % de son glacier et il est voué à disparaitre dans une dizaine d'années.

Après la fonte des glaciers, parlons de d'autres phénomènes qui vont apparaitre de plus en plus sur notre belle planètes: les cyclones tropicaux. Personne ne peut oublier Catrina qui a frapper la nouvelle Orléans. Des vents de 250 km/h, des vagues de 8 mètres, plus d'un million de personnes évacuées. Et bien, pardonnez-moi d'être défaitiste mais ce ne sera pas le dernier... Selon une étude, il semblerait que l'intensité des cyclones va augmenter. Selon cette étude, il est possible que cette augmentation d'intensité soit liée au réchauffement climatique, mais la période d'observation est trop courte et le rôle des cyclones dans les flux atmosphériques et océaniques n'est pas suffisamment connu pour que cette relation puisse être établie avec certitude. Par ailleurs, les simulations informatiques ne permettent pas dans l'état actuel des connaissances de prévoir d'évolution significative du nombre de cyclones lié à un réchauffement climatique.

Vient le tour du réchauffement des océans. On estime que les océans ont absorbé à ce jour 80 à 90 % de la chaleur ajoutée au système climatique. Ce réchauffement contribue pour 30 % à une montée du niveau de la mer par dilatation thermique des océans, 60 % de cette montée étant due à la fonte des glaces continentales dont la moitié provient de la fonte des calottes polaires et 10 % à un flux des eaux continentales vers les océans. On estime que le niveau de la mer s'est élevé de 1,8 mm par an entre 1961 et 2003 et de 3,4 mm par an depuis 1993. Cette élévation du niveau de la mer peut aussi être observée indirectement par ses conséquences sur l'environnement, comme c'est le cas au Nouveau- Brunswick, une province canadienne.

Mais face à tout ces dégâts, penchons-nous sur l'effet de serre qui est l'un des éléments responsables du réchauffement climatique. Nous savons que l'effet de serre est un phénomène naturel. une partie du rayonnement infrarouge émis par la Terre vers l’atmosphère terrestre reste piégée par les gaz dits « à effet de serre », augmentant ainsi la température de la basse atmosphère. Ces gaz sont essentiellement de la vapeur d'eau et une infime partie est d’origine humaine. Sans cet effet, la température de surface de la Terre serait en moyenne de -18 °C . L'augmentation est observé avec le dioxyde de carbone dans l'atmosphère(CO2) qui renforce ce phénomène. En effet, sa concentration dépasse les taux précédemment enregistrés. Actuellement, 49 milliards de tonnes équivalent CO2 sont émises annuellement par les activités humaines dont les deux plus gros émetteurs sont le domaine énergétique et industriel.

Malgré toutes les converses et discussions sur le sujet, il est néanmoins vrai que tous ces phénomènes ont un lien avec le réchauffement planétaire et dont nous ne pouvons pas ignorer. Que risque-t-il d'arriver si nous ne parvenons pas à contrôler ce phénomènes ? Personne ne sait ce qui va réellement se passer mais des hypothèses existent et font encore débat parmi les plus grands experts de notre planètes : mort de notre ozone et cetera. Mais les grands pays semblent adopter une politique de développement durable. Maintenant, il reste beaucoup de questions qui sont toujours sans réponse et dont les réponses ne seront donner qu'à notre descendance. En attendant, il en va de chacun de faire des efforts pour ralentir ce fléau qui frappe notre magnifique planète. Mais c'est un libre choix... Mais sachez que mère-nature finira par reprendre ces droits et sa place sur notre planète et que nous aurons toujours tord face à ce qu'elle a nous reprocher.

Je lirai demain. C'est un sujet à débat ! Mais là, dormir...

c'est très très interressant mais il faudrait aggrandir tes lecteur visée, cet amat de texte ne donnerai pas à tout le monde l'envie de lire, si il autorise des images o met en des hilarantes sinon fait des jeux de mots ou un mini quiz à la fin de ton texte, ceci donnera envie de le lir pour y répondre.